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Chers amis,

Je suis ravi de partager avec vous une réflexion sur la Parashat Vayera, une parasha riche en enseignements et en leçons de vie. Dans ce texte sacré, nous rencontrons Abraham, un homme d’une foi inébranlable et d’un dévouement sans faille envers Achem.

Abraham – l’Homme de foi

Abraham est un modèle de foi. Achem lui donne des instructions, et Abraham les suit sans hésiter, sans poser de questions. Dans la Parashat Vayera, Achem lui dit de sacrifier son fils bien-aimé, Isaac. Abraham est prêt à le faire, non pas parce qu’il comprend pourquoi, mais parce qu’il a confiance en Achem. Comme le Rabbi de Loubavitch le souligne souvent, Abraham est le premier juif, le premier à accepter la Torah d’Achem sans condition.

Mais nous voyons également dans cette parasha un autre aspect d’Abraham. Lorsque Achem informe Abraham de son intention de détruire Sodome et Gomorrhe en raison de leur méchanceté, Abraham ne reste pas silencieux. Il plaide pour la vie des justes qui pourraient se trouver dans ces villes. C’est une leçon importante pour nous tous. Même dans notre dévouement à Achem, nous avons le devoir de plaider pour la justice et d’agir pour elle.

Le miracle du quotidien

La Parashat Vayera est également marquée par des miracles. Le Rabbi de Loubavitch nous enseigne que le miracle n’est pas seulement quelque chose qui défie les lois de la nature. Chaque jour, chaque moment est un miracle. Le simple fait de vivre, de respirer, est un miracle. Les miracles ne sont pas toujours spectaculaires. Ils sont souvent discrets, presque invisibles. Mais ils sont toujours là, pour peu que nous prenions le temps de les voir.

Le défi de notre époque

La Parashat Vayera nous met également face à un défi très actuel : la tentation de la facilité. Lorsqu’Abraham reçoit la visite des trois anges, il est en pleine convalescence après sa circoncision. Pourtant, il ne se repose pas. Il se lève et court pour accueillir ces visiteurs, pour leur offrir l’hospitalité. Pour Abraham, faire le bien n’est pas une question de commodité. C’est une question de devoir, une question de foi.

En cette ère de consommation rapide et de gratification instantanée, ce défi est d’autant plus pertinent. Il ne s’agit pas de faire ce qui est facile, mais de faire ce qui est juste. Le Rabbi de Loubavitch nous a souvent rappelé que chaque Mitzvah, chaque bon acte, illumine le monde. Et ce monde a besoin de nous.

En conclusion, la Parashat Vayera nous offre une riche source d’inspiration et de réflexion. Elle nous invite à suivre l’exemple d’Abraham, à avoir foi en Achem et à agir pour le bien, même lorsque cela est difficile. Elle nous rappelle que chaque jour est un miracle, que nous devons chérir et respecter. Et elle nous met au défi de résister à la tentation de la facilité, de choisir le chemin plus difficile, mais plus gratifiant, du devoir et de la foi.

Que nous puissions tous trouver l’inspiration dans ces leçons et les mettre en pratique dans notre vie quotidienne. Et, comme le Rabbi de Loubavitch nous y a toujours encouragés, que nous puissions diffuser cette lumière autour de nous, pour illuminer le monde de la bonté et de la sainteté.

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