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Chers amis,

Aujourd’hui, nous allons explorer la Parashat Beha’alotcha, une portion riche et profonde de la Torah. Dans cette Parashat, nous apprenons comment Achem commande à Aaron de monter et d’allumer les lampes du Menorah, le chandelier à sept branches.

Le Rabbi de Loubavitch nous rappelle que chaque Juif est une lampe, une source de lumière spirituelle. Allumer la lampe signifie révéler cette lumière, cette âme divine qui est en chacun de nous. Achem ne demande pas à Aaron de simplement allumer les lampes, mais de veiller à ce que la flamme monte par elle-même. Il ne s’agit pas seulement de faire briller notre propre lumière, mais aussi d’inspirer les autres à laisser briller la leur.

Mais comment pouvons-nous faire cela dans notre vie quotidienne? Comment pouvons-nous allumer nos lampes et celles des autres? La réponse est simple, par l’étude de la Torah et la pratique des Mitsvot. Chaque fois que nous accomplissons une Mitsva, nous faisons briller notre lumière intérieure, et nous encourageons ceux qui nous entourent à faire de même.

Dans cette Parashat, nous voyons aussi le peuple juif qui se plaint à Moshe et Aaron, exprimant son insatisfaction face à la manne, la nourriture céleste que Achem leur a donnée. Ils désirent la nourriture qu’ils avaient en Égypte, symbolisant une nostalgie du matérialisme. C’est une lutte que nous connaissons tous. Vivre dans un monde matérialiste, nous sommes constamment tentés par les plaisirs éphémères et superficiels. Mais la Torah nous rappelle que notre vraie nourriture, notre vraie satisfaction vient de Achem et de l’accomplissement de Sa volonté.

Dans une lettre, le Rabbi explique que nous devrions chercher à transformer notre matérialité en spiritualité, à utiliser les plaisirs de ce monde pour servir Achem. Ainsi, lorsque nous mangeons, nous devrions le faire avec l’intention de renforcer notre corps pour mieux servir Achem.

Enfin, la Parashat Beha’alotcha nous enseigne l’importance de la patience et de la tolérance. Quand Miriam parle négativement de Moshe, elle est punie avec la lèpre. Mais Moshe, au lieu de se fâcher, prie pour sa guérison. C’est une leçon pour nous tous. Nous devrions toujours être prêts à pardonner, à prier pour ceux qui nous ont fait du mal, et à chercher la paix.

Alors, mes amis, alors que nous étudions cette Parashat, rappelons-nous : nous sommes tous des lampes, attendant d’être allumées. Allumons notre lumière intérieure et inspirons les autres à faire de même. Transformons notre matérialité en spiritualité, et cherchons toujours la paix et le pardon. Et en faisant cela, nous ferons briller la lumière de la Torah dans le monde.

Chabbat Shalom!

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