Partagez cette page avec votre entourage

Chères sœurs,

Je suis ravie de partager avec vous des enseignements de la Parashat Balak de cette semaine. Dans cette parasha, Balak, le roi de Moab, craignant le peuple d’Israël, demande à Balaam, un prophète non-juif, de maudire Israël. Cependant, Achem transforme la malédiction de Balaam en une bénédiction.

Il est fascinant de voir comment Achem peut transformer une malédiction en bénédiction, et cela nous rappelle que même dans nos moments les plus difficiles, Achem est avec nous. C’est une leçon que j’ai apprise de ma propre grand-mère. Elle avait cette merveilleuse habitude de reconnaître les bénédictions dans chaque défi, aussi petit soit-il.

Le Rabbi de Loubavitch nous enseigne que chaque femme juive est un pilier de son foyer, renforçant la foi et la spiritualité de sa famille. Comme le dit le Talmud, « C’est grâce au mérite des femmes justes que nous avons été délivrés d’Égypte ». De la même manière, c’est grâce à notre foi et à notre dévouement que nous pouvons transformer nos défis personnels en bénédictions.

En prenant le temps de réfléchir à notre journée, nous pouvons voir comment Achem est constamment présent dans notre vie. Que ce soit une conversation avec un ami, une balade dans le parc, ou même la préparation du dîner pour notre famille, chaque moment est une occasion de se connecter avec Achem.

L’un des moments forts de la Parashat Balak est lorsque Balaam finit par bénir le peuple d’Israël, disant « Qu’il est beau, ton tente, ô Jacob, tes demeures, ô Israël! » (Nombres 24:5). Le Rabbi de Loubavitch interprétait ces « tentes » comme une référence aux maisons juives, chaque maison étant un mini sanctuaire dans lequel nous servons Achem.

Chacune de nous a le pouvoir de faire de sa maison un sanctuaire, un lieu de spiritualité et de sainteté. Par des actes de bonté, comme allumer les bougies du Chabbat, préparer une nourriture kasher, ou faire preuve de charité, nous sanctifions notre maison. Et c’est ainsi que nous transformons notre monde en un lieu plus lumineux et plus saint.

Enfin, la Parashat Balak nous enseigne l’importance de la parole. Balaam a été embauché pour maudire, mais finit par bénir. Cela nous montre le pouvoir que nos paroles peuvent avoir. Chaque mot que nous prononçons a le potentiel de bénir ou de blesser. Utilisons nos paroles pour répandre la bonté et la bénédiction autour de nous.

Alors, à mesure que nous avançons dans notre semaine, rappelons-nous les leçons de la Parashat Balak. Que nous puissions reconnaître Achem dans chaque aspect de notre vie, transformer nos défis en bénédictions, faire de notre maison un sanctuaire, et utiliser nos paroles pour bénir.

Que la lumière de la Torah continue à illuminer nos vies et à nous élever spirituellement. Que nous puissions toutes être bénies avec la joie, la santé, et la paix, et que nous méritons de voir la venue du Machia’h très bientôt.

Shabbat Shalom à toutes, et que Achem vous bénisse.

“J’aime” / “Sans intérêt”
Nombre total de votes : 0
▲ 0 | ▼ 0

Partagez cette page avec votre entourage

Add Your Comment